Les dystopies et le droit
338 pp.
Au coeur du mouvement Littérature et Droit, cet ouvrage offre une étude juridique des oeuvres dystopiques marquantes, citées comme références face aux risques d’atteintes contemporaines aux libertés fondamentales. Orwell, Aldous Huxley, Margareth Atwood, Bradbury et tant d’autres auteurs offrent dans leurs plus belles oeuvres de terrifiants récits d’anticipation, ayant pour ambition de dénoncer les dérives de nos sociétés en amenant le lecteur à se plonger dans un monde où des libertés fondamentales, qu’il pensait acquises, ont disparu. A l’heure de la fulgurance des progrès technologiques et scientifiques ; des réseaux sociaux et des fake news ; de la mondialisation et du péril environnemental, les dystopies mettent l’accent sur le pire de nos sociétés et exacerbent nos angoisses pour l’avenir de l’humanité. Ces récits font figure d’avertissement et permettent aux juristes de s’interroger sur l’efficacité et la nécessité des limites légales permettant d’empêcher que ne surviennent ces évènements pour l’heure encore imaginaires.